Pierre Michot
Pierre Michot est né et vit à Genève, où il a accompli des études littéraires et musicologiques, poursuivies à Vienne, à Athènes et à Rome. Professeur honoraire d'histoire de la musique au Conservatoire de Genève, il présente des conférences au Grand Théâtre de Genève, à l’Association genevoise des Amis de l’opéra et du ballet (dont il a été le président), au Cercle Romand Richard-Wagner et à Forum Opéra de Lausanne. Il a tenu une chronique de disques au journal Le Temps et collaboré à L'Avant-Scène Opéra, où il a publié Mozart opéras, mode d’emploi (2006) et, dans la série OpéraConté, des analyses sur CD de Così fan tutte, de Tristan et de L’Anneau du Nibelung (2005).
Conférences de Pierre Michot
LE SACRE DU PRINTEMPS et LES NOCES - ballet
Grand Théâtre - Grande Salle
LES VOIX DANS L'OPÉRA - Voix d'hommes II
Les voix dans l’opéra Quatrième séance : Les voix d'hommes graves Par Pierre Michot Cycle de quatre cours-conférences A prendre en abonnement ou à l’unité Le mercredi de 12 h 15 à 13 h 45, les 11 janvier, 8 février, 14 mars et 25 avril 2012 Au Foyer du Grand Théâtre Collaboration du Grand Théâtre de Genève et de l’Association genevoise des amis de l’opéra et du ballet Ouverture des portes dès 11 h 45 Une collation est comprise dans le prix.
C’est à George Bernard Shaw qu’on attribue la formule : l’opéra est une histoire où le ténor et la soprano s’aiment, mais le baryton n’est pas d’accord. Alfredo ténor est amoureux de Violetta soprano, mais Germont baryton s’interpose. Ou Manrico, Léonora et Luna ; ou encore Edgardo, Lucia et Ashton ; Mario, Tosca et Scarpia… Il y aurait ainsi correspondance obligée entre les personnages du livret et les voix qui les incarnent, entre type d’emploi et registre vocal. En est-il toujours été ainsi ? Les exceptions sautent aux yeux, ou plutôt aux oreilles. Don Juan est baryton, Carmen est mezzo, et Oktavian un travesti. Et dans l’opéra baroque, Jules César est un castrat et le jeune amoureux n’est jamais le ténor. Il y a donc lieu de regarder – et d’écouter – les choses de plus près. Définir les registres vocaux, examiner leurs correspondances possibles avec les fonctions dramatiques, l’âge et le sexe. Tenter un catalogue et un classement des voix dans l’opéra, en rapport avec l’histoire qui est racontée, en rapport avec l’Histoire qui le raconte. Tarifs Abonnement 4 conférences Plein tarif 104 CHF, soit 26 CHF la place Abonnés du Grand Théâtre et membres des Amis de l’opéra 80 CHF soit 20 CHF la place Jeunes 40 CHF soit 10 CHF la place A l’unité Plein tard 30 CHF Abonnés GT et Amis de l’opéra 25 CHF Jeunes et étudiants 15 CHF Labo-M et personnel GT 10 CHF
LES VOIX DANS L'OPÉRA - Voix d'hommes I
Les voix dans l’opéra Troisième séance : Les voix d'hommes aiguës Par Pierre Michot Cycle de quatre cours-conférences A prendre en abonnement ou à l’unité Collaboration du Grand Théâtre de Genève et de l’Association genevoise des amis de l’opéra et du ballet Le mercredi de 12 h 15 à 13 h 45, les 11 janvier, 8 février, 14 mars et 25 avril 2012 Au Foyer du Grand Théâtre Ouverture des portes dès 11 h 45 Une collation est comprise dans le prix.
C’est à George Bernard Shaw qu’on attribue la formule : l’opéra est une histoire où le ténor et la soprano s’aiment, mais le baryton n’est pas d’accord. Alfredo ténor est amoureux de Violetta soprano, mais Germont baryton s’interpose. Ou Manrico, Léonora et Luna ; ou encore Edgardo, Lucia et Ashton ; Mario, Tosca et Scarpia… Il y aurait ainsi correspondance obligée entre les personnages du livret et les voix qui les incarnent, entre type d’emploi et registre vocal. En est-il toujours été ainsi ? Les exceptions sautent aux yeux, ou plutôt aux oreilles. Don Juan est baryton, Carmen est mezzo, et Oktavian un travesti. Et dans l’opéra baroque, Jules César est un castrat et le jeune amoureux n’est jamais le ténor. Il y a donc lieu de regarder – et d’écouter – les choses de plus près. Définir les registres vocaux, examiner leurs correspondances possibles avec les fonctions dramatiques, l’âge et le sexe. Tenter un catalogue et un classement des voix dans l’opéra, en rapport avec l’histoire qui est racontée, en rapport avec l’Histoire qui le raconte. Tarifs Abonnement 4 conférences Plein tarif 104 CHF, soit 26 CHF la place Abonnés du Grand Théâtre et membres des Amis de l’opéra 80 CHF soit 20 CHF la place Jeunes 40 CHF soit 10 CHF la place A l’unité Plein tard 30 CHF Abonnés GT et Amis de l’opéra 25 CHF Jeunes et étudiants 15 CHF Labo-M et personnel GT 10 CHF
LES VOIX DANS L'OPÉRA - Voix de femmes II
Les voix dans l’opéra Deuxième séance : Les voix de femmes graves Par Pierre Michot Cycle de quatre cours-conférences A prendre en abonnement ou à l’unité Le mercredi de 12 h 15 à 13 h 45, les 11 janvier, 8 février, 14 mars et 25 avril 2012 Au Foyer du Grand Théâtre Ouverture des portes dès 11 h 45 Une collation est comprise dans le prix.
C’est à George Bernard Shaw qu’on attribue la formule : l’opéra est une histoire où le ténor et la soprano s’aiment, mais le baryton n’est pas d’accord. Alfredo ténor est amoureux de Violetta soprano, mais Germont baryton s’interpose. Ou Manrico, Léonora et Luna ; ou encore Edgardo, Lucia et Ashton ; Mario, Tosca et Scarpia… Il y aurait ainsi correspondance obligée entre les personnages du livret et les voix qui les incarnent, entre type d’emploi et registre vocal. En est-il toujours été ainsi ? Les exceptions sautent aux yeux, ou plutôt aux oreilles. Don Juan est baryton, Carmen est mezzo, et Oktavian un travesti. Et dans l’opéra baroque, Jules César est un castrat et le jeune amoureux n’est jamais le ténor. Il y a donc lieu de regarder – et d’écouter – les choses de plus près. Définir les registres vocaux, examiner leurs correspondances possibles avec les fonctions dramatiques, l’âge et le sexe. Tenter un catalogue et un classement des voix dans l’opéra, en rapport avec l’histoire qui est racontée, en rapport avec l’Histoire qui le raconte. Tarifs Abonnement 4 conférences Plein tarif 104 CHF, soit 26 CHF la place Abonnés du Grand Théâtre et membres des Amis de l’opéra 80 CHF soit 20 CHF la place Jeunes 40 CHF soit 10 CHF la place A l’unité Plein tard 30 CHF Abonnés GT et Amis de l’opéra 25 CHF Jeunes et étudiants 15 CHF Labo-M et personnel GT 10 CHF
LES VOIX DANS L'OPÉRA - Voix de femmes I
Les voix dans l’opéra Première séance : LES VOIX DE FEMMES AIGUËS Par Pierre Michot
Cycle de quatre cours-conférences A prendre en abonnement ou à l’unité Collaboration du Grand Théâtre de Genève et de l’Association genevoise des amis de l’opéra et du ballet
Le mercredi de 12 h 15 à 13 h 45, les 11 janvier, 8 février, 14 mars et 25 avril 2012
Au Foyer du Grand Théâtre Ouverture des portes dès 11 h 45 Une collation est comprise dans le prix.
C’est à George Bernard Shaw qu’on attribue la formule : l’opéra est une histoire où le ténor et la soprano s’aiment, mais le baryton n’est pas d’accord. Alfredo ténor est amoureux de Violetta soprano, mais Germont baryton s’interpose. Ou Manrico, Léonora et Luna ; ou encore Edgardo, Lucia et Ashton ; Mario, Tosca et Scarpia… Il y aurait ainsi correspondance obligée entre les personnages du livret et les voix qui les incarnent, entre type d’emploi et registre vocal. En est-il toujours été ainsi ? Les exceptions sautent aux yeux, ou plutôt aux oreilles. Don Juan est baryton, Carmen est mezzo, et Oktavian un travesti. Et dans l’opéra baroque, Jules César est un castrat et le jeune amoureux n’est jamais le ténor. Il y a donc lieu de regarder – et d’écouter – les choses de plus près. Définir les registres vocaux, examiner leurs correspondances possibles avec les fonctions dramatiques, l’âge et le sexe. Tenter un catalogue et un classement des voix dans l’opéra, en rapport avec l’histoire qui est racontée, en rapport avec l’Histoire qui le raconte.
Tarifs Abonnement 4 conférences Plein tarif 104 CHF, soit 26 CHF la place Abonnés du Grand Théâtre et membres des Amis de l’opéra 80 CHF soit 20 CHF la place Jeunes 40 CHF soit 10 CHF la place A l’unité Plein tard 30 CHF Abonnés GT et Amis de l’opéra 25 CHF Jeunes et étudiants 15 CHF Labo-M et personnel GT 10 CHF
Voyage à Lyon - LUISA MILLER de Giuseppe Verdi
Cet opéra n’a pas été donné à Genève depuis près de vingt ans. Un saut à Lyon aura vite fait de rattraper cet oubli. Car on ne fait pas à Luisa Miller la place que mérite cette belle œuvre, dont la composition se situe entre Macbeth et Traviata. Le drame de Schiller, Kabale und Liebe, a inspiré des scènes fortes où Verdi s’évade des formules. D’acte en acte les personnages vivent, la substance musicale se fait plus dense, l’orchestre plus nuancé et plus inventif. Pour cette nouvelle production, l’Opéra de Lyon a confié la baguette à Kazushi Ono, son remarquable directeur musical, et la mise en scène à David Alden, qui s’est fait connaître à l’English National Opera (Oliver Award en 2006) puis à l’Opéra de Munich où il a multiplié les succès. Rodolfo, le fils du Comte Walter, est amoureux de Luisa Miller, la fille d’un ancien soldat. Mais son père lui destine la duchesse Federica. Rodolfo s’y refuse et menace même son père de révéler comment il a usurpé son titre. Poussé par son homme de main Wurm, le Comte fait arrêter Miller. Wurm négocie sa libération contre une lettre de Luisa à Rodolfo lui avouant son amour pour un autre. Après la libération de Miller, Luisa confesse l’horrible chantage à Rodolfo. Tous deux décident de s’empoisonner.